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© image Philippe Guillemant

LE BUT DE LA VIE, POURQUOI FAIRE ?

Si un Être humain n’est pas heureux, c’est que le but même de la vie lui échappe.

Si son intelligence, son énergie, sa créativité, sa paix et son bonheur ne se développent pas constamment, c’est qu’il a perdu de vue le but même de la vie. La vie ne doit pas se passer dans la dépression, l’oisiveté et la souffrance ; ces choses n’appartiennent pas à la nature essentielle de la vie.

La vie est dynamique, non pas statique. Elle est énergique, elle progresse, évolue et se développe par l’activité et sa propre expansion néguentropique.

La nature et le but de la vie sont le progrès, l’évolution, l’activité et le perfectionnement. La physique quantique nous prouve que nous ne faisons qu’un avec l’univers, par conséquent tout Être humain, qui ne suivrait pas ce mouvement ou s’y opposerait, ne pourrait trouver le bonheur, étant à contre-courant des lois de la nature.

Vivre dans la liberté, tel est le but de la vie humaine. Si l’Être humain n’est pas à même de vivre dans la liberté, le but même de la vie est obscurci. L’Être humain est né pour vivre une vie parfaite, embrassant toutes les valeurs du Tout(1) quel qu’il soit (Dieu, Divin, matrice, matière, conscience, univers, esprit, énergie, source, le tout absolu et transcendantal etc.) : l’énergie, l’intelligence, la puissance, la paix et la béatitude infinies, en même temps que les valeurs illimitées du monde de la multiplicité dans l’existence relative. Il est né pour faire passer l’abondance de l’état absolu (non manifesté) de la vie dans le monde de l’existence relative (manifesté).

La vie de l’Être humain est destinée à servir de pont entre l’intelligence divine(1) et l’ensemble de la création. Elle a pour but d’accroître la puissance, l’intelligence, l’abondance et le bonheur, et de les communiquer à toute la création. Tel est le but suprême de la vie de l’Être humain. L’Être humain a la chance d’être doté de la faculté d’atteindre cet état en élargissant la capacité consciente de son esprit et en contactant de façon consciente le domaine de l’énergie, de la paix et du bonheur absolus ainsi que le domaine d’abondance de la conscience divine infinie et éternelle.

Tout Être humain est capable de répandre la splendeur divine à travers sa création tout entière. Il est capable de projeter toutes les valeurs de l’Absolu dans le monde de l’existence relative pour en faire jouir toutes les créatures. Chaque Être humain est capable de vivre une vie de plénitude. S’il ne le fait pas, il prive son Être de l’expérience qu’il souhaite vivre à travers son incarnation. C’est pour cette raison que le but de la vie n’est pas d’acquérir de la connaissance, n’est pas non plus de devenir quelqu’un d’important, ni de faire quoi que ce soit. Peu importe ce que vous faites et peu importe son résultat, l’important c’est que quoi que vous fassiez, comment Êtes-vous, comment vous sentez-vous pendant que vous le faites ? Êtes-vous en accord avec votre Être, êtes-vous en heureux en le faisant ? Cela vous apporte-t-il une satisfaction ?

Cet article est une invitation adressée à chaque Être humain sur terre pour qu’il commence à vivre la conscience divine de l’Absolu et, en l’exprimant à travers toutes ses activités dans le monde de la diversité, pour qu’il en jouisse lui-même et qu’il la rayonne vers les autres pour leur plus grand bien.

(1) Avertissement ; Dieu – Divin – Divine n’est pas employé dans cet article ni dans ce blog au sens religieux du terme, mais au sens spirituel, non manifesté. Quel qu’il soit, quel que soit le nom que vous utiliserez pour désigner ce « Tout » ; “Dieu, Divin, matrice, matière, conscience, univers, esprit, énergie, source, l’absolu, le tout, la source de l’être et de toute conscience” il est utile de le mentionner et primordial de reconnaître avec certitude qu’en l’absence de rien, il y a ce « Tout », cette source éternelle que l’on peut qualifier de divine sans aucune connotation personnaliste des religions.  

 

QUE SOMMES NOUS VENUS FAIRE SUR TERRE ?

 

Réponse : Il n’y a rien à faire, juste à Être.

Faire est une fonction du corps, Être est une fonction de l’âme.

 

Sachant que tout ce que nous faisons est un effet physique visible dans le monde manifesté, précédé d’une cause invisible générée dans le monde non manifesté, au niveau subtil de la pensée.

Il n’y a rien à faire, à apprendre, ni à devenir quelqu’un d’important, ou avec une « belle situation » comme on dit…

Peu importe ce que vous Faites, l’important est comment Êtes-vous en le faisant.

 

Avons-nous une mission, un but dans la vie ?

 

Penser que vous devez devenir quelqu’un de respecté, atteindre un but hiérarchique, apprendre des leçons, amasser des biens matériels, etc… la réponse est non. Pourquoi faire ? Puisque tout ce que nous enregistrons dans notre présent n’est que le résultat de notre projection, c’est-à-dire des illusions. Qu’elles soient bonnes ou mauvaises, ces illusions restent des illusions, bien que persistantes, elles ne le sont qu’en apparence seulement.

Mais qui suis-je alors ?

Vous n’êtes pas votre corps !

Un Être dit : « séparé », est un Être non éveillé « croyant » être son corps, pensant que la matière existe indépendamment de la conscience, accroché au dogme de la dualité, de la séparation, pouvant même aller jusqu’à mépriser celles et ceux qui explorent d’autres voies métaphysiques que la physique matérialiste continue d’ignorer, s’interdisant de penser parce que bourrés de certitudes et se retirant une faculté fondamentale qu’est la notion de doute, d’esprit logique et critique. (Ceci n’est pas un jugement, surtout pas, c’est un fait qu’il convient d’accepter tel qu’il est, parce que précisément la source a aussi besoin de cette expérience dans sa pluralité d’individualisations incarnées).

Ce que vous êtes vraiment ?

Vous êtes cette entité informe, ce fantôme au sein de la machine qui incarne votre avatar de corps.

La source n’a nul besoin d’apprendre, Pourquoi ?

Parce que la source est omnisciente, elle possède tout le savoir, toute la connaissance infinie. Son seul but est expérientiel. (CF article « le but de la vie – comment »)

La source a besoin de s’incarner dans toutes les possibilités pour avoir conscience d’elle-même.

Votre mission est une mission expérientielle en relation avec votre âme qui elle-même en relation intriquée avec la source a besoin de s’incarner, de se densifier en se pixélisant pour se révéler dans sa vraie mission. La source divine pour avoir conscience d’elle-même, utilise les âmes qui se manifestent en s’incarnant dans une réalité imagée.

Donc, attention à ne pas priver votre âme de sa mission qui vous est communiquée par le langage de l’intuition et des sentiments. C’est pour cette raison que malheureusement les personnes qui s’identifient à tort à leur corps vivent dans la crainte, constamment menacés, et privent leur âme de se réaliser pleinement.

 

Comment faire alors pour se réaliser ?

 

La bonne question à toujours se poser est : Comment ai-je envie d’être ? 

 

Cette question s’adresse à votre cœur en relation avec votre âme « moi supérieur » c’est un dialogue d’amour et non de raison, c’est pour cela que ce dialogue n’est pas adressé à votre mental. La réponse qui viendra intuitivement, viendra de votre âme, l’intuition est le langage de l’âme, il ne parle aucune langue, sa seule langue universelle est l’intuition et se révèle par les sentiments. Ecoutez-là bien, faites silence avec cette réponse et suivez-là absolument.

C’est là que vous découvrirez quelle est la vraie raison d’Être ici, votre vraie mission.

Probablement que la réponse intuitive sera semblable à celle-ci ; « Je veux être en paix, être libre, apprécier la vie, me sentir en sécurité, en pleine santé, vivre dans la joie, le bonheur, l’amour et l’abondance. » Rien que ça !

Je vous conseille de bien vous en souvenir et de noter même cette réponse. Parce que quoi que vous ferez, devra permettre d’être en harmonie avec ce désir de réalisation de votre être.

Gardez confiance dans ce choix et lâchez prise, votre mission viendra plus tard au travers de synchronicités* (autre technique de communication de votre âme avec votre mental) et sera en parfait accord avec votre être donc votre âme.

« Un esprit non entraîné ne peut rien accomplir » Entraîné à quoi ? A lâcher prise !

 

Parce que l’on n’a pas envie de lâcher prise. « C’est bien gentil tout ça, mais en attendant si je lâche prise, je vais me faire bouffer, faut bien que je paye le loyer, et puis si je n’ai pas d’argent, je ne peux plus rien faire, etc. » Ca c’est le mental qui parle. En fait apparemment oui, mais en réalité non. Parce qu’on a oublié que l’on est créateur et qu’en lâchant-prise on ne s’accroche plus au présent menaçant que l’on croit réel, on se laisse porter en lien direct avec la source. Tant que l’on ne lâche pas prise, par définition on s’accroche. Pour lâcher une situation qui n’est pas plaisante, il faut bien comprendre que ce n’est pas en s’y accrochant que vous allez la quitter.  En revenant à la source par le Lâcher prise on revient dans le flot de l’abondance. La condition d’un bon fonctionnement de lâcher prise est la confiance, la foi dans ses nouvelles intentions et ne plus y penser.

 

La mauvaise question à ne jamais se poser : Que dois-je faire ? 

 

Cette question s’adresse à votre mental sous l’emprise de votre ego enfermé dans des dogmes, emprisonné dans des schémas mentaux qui vous ont fait croire que vous êtes ce corps vulnérable donc menacé. Ne vous attendez pas à avoir une réponse autre que celle que la raison ne saurait imaginer. Vous aurez une réponse raisonnée, proportionnée à votre niveau d’enfermement de vos croyances, limitante et forcément erronée.

 

Pourquoi serait-elle obligatoirement erronée ? 

Parce qu’une réponse émanant d’une conscience construite sur des croyances d’un monde irréel, qui n’existe pas ne peut être fiable.

 

C’est quoi l’éveil ?

 

L’éveil, c’est cette capacité de découvrir qui vous êtes vraiment et cette faculté de discernement entre ce qui est réel de ce qui est irréel.

 

Après avoir totalement compris et intégré cette citation, vous aurez ce sentiment d’être sauvé : « Rien de réel ne peut être menacé, rien d’irréel n’existe. » UCEM Un cours en miracles

 Rester stoïque face à toute situation quelle qu’elle soit.

« La plus haute forme d’intelligence humaine est la capacité d’observer sans juger » Juddi Krishnamurti

N’apporter aucun jugement et accepter être le créateur de cette réalité. Vivre l’expérience de l’Être sans être submergé d’émotions ni positives, ni négatives.

 

Pourquoi ?

Parce que réagir à une situation en se laissant dominer par ses émotions témoigne simplement d’un « non éveil », faussé par la croyance que l’illusion de cette réalité vécue existe réellement, physiquement indépendamment de la conscience.

Ne pas réagir à une situation vécue, c’est ne pas y donner crédit, c’est ne pas la faire exister. C’est la reconnaître comme n’étant rien, c’est apprécier votre paix intérieure intacte, inattaquable, grâce à votre capacité de discernement de ce qu’est le réel.

 

  • C’est ça l’éveil 

Sauf que si c’était aussi facile, ça se saurait n’est-ce Pas ? 

Oui, vous avez raison, parce que vous n’êtes pas seul créateur, vous devez faire face à la masse critique (voir mon article à ce sujet, « Global Consciousness Project » résumé ci-après) qui densifie comme information dans la myriade de futurs potentiels déployés du multivers que par exemple les pyramides se trouvent en Egypte, ça vous ne pourrez effectivement pas le modifier. Cependant vous pourrez densifier l’information, exciter un de ces futurs potentiels vous concernant personnellement et que la conscience collective n’a pas conscience et n’a donc rien densifié à votre place. Par exemple votre désir d’être heureux (se) en amour, de vivre une vie harmonieuse, riche en émotions, haute en couleurs, en bonne santé, prospère et dans l’abondance. Ça vous pouvez le créer rien ne s’y oppose. Mais si dans votre esprit, vous pensez que le monde est déjà créé, et qu’il existe physiquement indépendamment de votre conscience, alors où est votre libre arbitre ?

Que pouvez-vous créer dans un monde inerte qui serait déjà créé ? C’est très triste, fataliste et réducteur de penser qu’un tel monde puisse exister non ? 

Dans ce monde vous seriez une victime du futur, vous ne feriez que subir, vous ne pourrez absolument rien créer, et n’auriez plus aucune raison valable de vivre.

Un tel monde ne peut exister pour les raisons delà évoquées ci-dessus et parce qu’un tel monde déjà créé serait figé, inerte, arrêté et donc mort. Or vous constatez par vous-même que ce monde qui vous apparaît lors de l’enregistrement du présent par votre conscience uniquement n’est pas mort, il est bouillonnant de vie, il est en mouvement, il est en perpétuelle expansion parce qu’il est en permanence co-créé par les 7,7 milliards de co-créateurs que nous sommes. Tous reliés, (parce que nous ne sommes pas nos corps séparés), intriqués à cette conscience collective qu’est la source divine, un peu comme dans un cloud. 

Ce monde qui se manifeste à votre conscience, est l’image que votre conscience va chercher dans ce cloud collectif, l’égrégore, la source, ce n’est rien d’autre. Ce n’est pas votre faute, c’est ce que la majorité de l’humanité croit, c’est pour cela que la densification de l’information contenue dans ce cloud est celle-là.

Si ce monde n’existe pas, alors suis-je seul ?

Cela ne doit pas vous effrayer au contraire, cela doit être une renaissance, un changement de paradigme, le premier jour d’une nouvelle vie avec la découverte de nouveaux pouvoirs qui s’offrent à vous. 

D’un point de vue métaphorique, c’est un peu comme si la source divine, ce cloud dont je parle, est un océan et les 7.7 milliards d’âmes se manifestent individuellement en milliards de petites vaguelettes apparemment séparées, mais pourtant bien reliées au tout et entre elles par la même source commune qu’est l’océan. Chaque vague contient de l’océan, si l’océan est Dieu, on peut aussi dire que chaque vague contient Dieu, chaque vague est Dieu. L’océan ou Dieu a besoin des vagues dans leurs diversités pour se révéler à lui-même dans toutes les possibilités, pour prouver qu’il existe. En cela chaque vague bien que différente est parfaite.

Dieu ne quitte pas sa création, sa création est parfaite.

Le but mode d’emploi :

Selon Neale Donald Walsch, Sylvain Du Boullay, Franck Hatem et Philippe Guillemant

Il est une chose primordiale à comprendre et à bien intégrer :

Vous ne recevrez jamais ce que vous demandez et vous n’aurez rien de ce que vous voulez !

Pourquoi ?

Parce que votre demande est l’affirmation d’un manque, et le fait de dire que vous voulez quelque chose ne sert qu’à produire cette expérience précise de manque (le fait de vouloir) dans votre réalité.

Par conséquent, la prière adéquate n’est jamais une prière de supplication, mais une prière de gratitude.

Lorsque vous remerciez la source “Dieu, l’univers, l’absolu, etc…” à l’avance pour l’expérience que vous choisissez de faire dans votre réalité, en fait, vous reconnaissez qu’elle s’y trouve en réalité. Par conséquent, la gratitude est l’affirmation la plus puissante faite à la source “Dieu,…” Puisque le « TOUT » est « UN », tout étant intriqué, les lignes spatio-temporelles ayant toutes individuellement leur propre [passé-présent-futur] déjà réalisé mais pas totalement, qui se jouent en même temps. Votre prière étant une intention soutenue avec foi (vous croyez dans votre intention) vous permettra de commuter de ligne spatio-temporelle.

En définitive, pour cette raison, ne suppliez jamais, appréciez comme déjà réalisé, tout simplement parce que ça l’est !

Rappel : « Nos intentions causent des effets dans le futur qui deviennent nos futures causes d’un effet dans le présent » Philippe Guillemant

 

Pourquoi un espace-temps flexible ?

 

« Parce que la flexibilité fournit une interprétation alternative séduisante, satisfaisant notamment le principe du rasoir d’Occam, à l’interprétation aujourd’hui dominante de la mécanique quantique faisant appel à la théorie des mondes multiples d’Everett, que l’on sait aujourd’hui généraliser à l’échelle macroscopique (cosmologie quantique). Ce dernier a proposé que lors d’une mesure quantique, tous les choix de résultats possibles soient réalisés par la nature, qui multiplie ainsi tous les univers possibles ou branches, mais nous ne vivons que dans un seul univers où les choix sont bien déterminés. Il existerait ainsi des myriades de myriades d’univers simultanés, qui contiendraient autant de doubles de notre conscience. » Philippe Guillemant

Pourquoi ma prière est restée sans réponse ?

 

Bien des gens disent que leurs prières sont restées sans réponse.

Aucune prière (et une prière n’est rien d’autre qu’un fervent énoncé de ce qui est) ne reste sans réponse. Chaque prière (chaque pensée, chaque affirmation, chaque intention) est créative. C’est par votre ardeur à la tenir pour vraie déjà réalisée, qu’elle se manifestera dans votre expérience.

Lorsqu’on dit qu’une prière est restée sans réponse, en réalité cette prière, la parole, ou le sentiment entretenu avec le plus de ferveur est en train d’agir. Vous devez toutefois savoir (et voici le secret) que c’est toujours la pensée derrière la pensée (ce qu’on pourrait appeler la pensée racine) qui contrôle.

Si, par conséquent, vous quémandez et suppliez, vous n’aurez aucune chance de faire l’expérience de ce que vous voulez obtenir, car la pensée racine qui se trouve alors derrière chaque supplication, est que vous n’avez pas maintenant ce que vous souhaitez.

Cette pensée racine devient votre réalité.

La seule pensée racine susceptible d’enrayer cette pensée, c’est la pensée, entretenue dans la foi(2) (Pensée + émotion + sentiment + confiance + lâcher prise = foi) que Dieu vous accordera tout ce que vous choisissez comme déjà réalisé. Certains être humains, mais très peu, ont une telle foi.

Le processus de la prière devient plus simple lorsque, au lieu de croire que Dieu acceptera toujours chaque requête, on comprend intuitivement que la requête en soi n’est pas nécessaire. Alors, la prière est une prière d’action de gratitude. Ce n’est pas du tout une requête, mais une parole de reconnaissance pour ce qui est déjà réalisé, afin de commuter de ligne spatio-temporelle par densification de l’information contenue dans vos prières.

 

Que fait Dieu dans tout ça ? Qui est-il ?

 

Lorsque je dis qu’une prière est une affirmation de ce qui est, quel est le rôle de Dieu dans ce processus ?

Est-ce que tout ce qui survient après une prière est uniquement le résultat de l’action de celui qui prie?

Si vous croyez que Dieu est un être tout-puissant qui répond «oui » à certaines prières, « non » à d’autres et «peut-être, mais pas maintenant » au reste, vous vous trompez. Selon quelle règle Dieu déciderait-il ?

Si vous croyez également que Dieu existe à l’extérieur de vous, indépendamment de votre conscience et qu’il est le créateur et le décideur de toutes choses dans votre vie, vous faites erreur !

 

(2) Foi (Pensée + émotion + sentiment + confiance + lâcher prise = foi) = Prière en 3 pas

 

Chaque pensée qui apparaît provoque une émotion :

 

  • Le premier pas : Si cette émotion me convient, alors je choisis de conserver cette pensée et de la nourrir pour générer un sentiment. Sachant que le temps n’existe pas, le passé – présent et futur ne sont que des conceptions humaines. Le bloc passé-présent-futur ne se matérialise que dans le présent éternel et infini, par commutation parmi une myriade de lignes spatio-temporelles potentielles pas totalement configurées.
  • Le deuxième pas : Lâcher prise est justement le fait de faire confiance et avoir la foi en son premier pas. Avoir une confiance inébranlable et vivre l’expérience comme déjà réalisée. La ressentir avec les sensations que procure ce sentiment qui va générer des fréquences vibratoires véhiculant cette information et énergie. Ne plus y penser, laisser agir.

Pourquoi est-ce important de lâcher prise lors de ce deuxième pas ?

Parce que tout ce à quoi nous résistons, persiste et nous empêche tout simplement de bifurquer, de commuter vers une autre ligne spatio-temporelle.

  • Le troisième pas : Est celui fait par “Dieu, la source, etc.”, la rétrocausalité. Le vœu est exaucé, et il ne peut en être autrement. Vous êtes le résultat de votre équation vibratoire.

 

Pourquoi ça marche à 100% ?

 

Parce que le vœu tel que décrit dito, (avec les 3 pas) est l’exact résultat de votre équation vibratoire et il ne peut en être autrement.

Si vous vibrez que « dans la vie on a rien sans rien », vous en ferez l’expérience. Si vous pensez que tous les mecs sont des machos, vous en ferez également l’expérience. Si vous êtes convaincu que votre femme vous trompe, vous en ferez également l’expérience.

Si, cependant, vous choisissez de penser que la vie est belle et est abondance, vous virez dans la joie, la paix, l’amour, vous vivrez une abondance d’expériences de réussites et ne manquerez jamais de rien.

Comment est-ce que ça fonctionne ?

Par excitation d’une ligne spatio-temporelle par densification d’informations. La conscience ayant deux fonctions, celle d’enregistrer le présent et de configurer le futur présent (Le présent qui est le passé du futur par rétrocausalité), la conscience va commuter et enregistrer le présent d’une nouvelle ligne spatio-temporelle présentant la vibration la plus dense déjà reçue en information par vos intentions et celles de la conscience collective. C’est la décohérence quantique, l’effondrement de la fonction d’onde de probabilité la plus forte.

Le plus drôle, c’est qu’elle le fait en permanence, elle ne fait que ça, c’est à dire des miracles à la pelle à chaque septillionième de seconde.

Petit rappel : comment nous est projeté notre réalité ?

Avant l’observation la probabilité quantique n’est pas l’endroit probable où est l’atome, mais c’est la probabilité de trouver l’atome à un endroit particulier. Autrement dit l’atome n’était pas quelque part avant qu’il soit observé. Il n’y a pas de matière.

C’est seulement lorsqu’un observateur prend conscience de la mesure d’un système quantique qu’un état unique bien déterminé de ce système émerge.

Il est tout aussi faux de dire qu’une particule est « partout à la fois » ou à la fois en X et en Y, ou tantôt en X tantôt en Y, ou encore à un endroit inconnu. Il est juste de dire que cette particule n’a aucune position définie, en bref qu’elle n’a aucune position, un point c’est tout.

Il n’y a pas de démarcation entre le monde macroscopique où la physique classique s’applique et le monde microscopique de la physique quantique. Ce sont les mêmes et toute notre réalité obéit aux lois quantiques.

C’est le mécanisme de décohérence qui donne l’illusion de cette démarcation, mais en réalité ce mécanisme n’élimine nullement le rôle de l’observateur qui sélectionne sa réalité à vivre parmi plusieurs, superposées y compris à notre échelle (Ceci est important : des choix sont réellement effectués, reste à connaître leur source mystérieuse : hasard ? conditionnement ?)

Dans un monde où tout est relatif, depuis la théorie de la relativité générale, la relativité elle-même est relative.

Notre monde macroscopique qui nous apparaît dans nos réalités individuelles, est le résultat holographique d’un monde visible, celui des effets précédés par des causes, qui elles-mêmes sont générées dans le monde subtil, microscopique invisible au niveau quantique. C’est la double causalité ou rétrocausalité.

Tout ce que l’on croit réel est constitué de particules au niveau subatomique, (en dessous de la longueur de l’échelle de Planck 10-33cm) qui ne peuvent pas être considérées comme réelles. Les atomes qui constituent toute la matière du monde relatif sont constitués à 99,99999% de vide ou plutôt d’espace et les 0,00001% restant ne sont que VIE Vibrations, Informations et Energie. Personne n’a réussi et ne réussira jamais à trouver un « bout » de matière physique solide, tout simplement parce que cela ne peut exister indépendamment de notre conscience.

Alors qu’est-ce que le réel ?

« C’est parce que les pensées que nous pensons penser nous apparaissent comme des images que nous ne les reconnaissons pas comme n’étant rien. Nous pensons que nous les pensons ; ainsi pensons-nous que nous les voyons.

C’est ainsi que notre « vue » a été faite. C’est la fonction que nous avons donnée aux yeux de notre corps.

Cela n’est pas voir.

C’est faire des images.

Cela prend la place de la vue en remplaçant la vision par des illusions.

Le monde est insignifiant

Rien ne sert de se lamenter sur le monde. Il est inutile d’essayer de changer le monde. Il est incapable de changer parce qu’il est simplement un effet. Mais il est certes utile de changer tes pensées au sujet du monde, car ce sont tes pensées qui déterminent le monde que tu vois. Là tu changes la cause. L’effet changera automatiquement.  Si tu pouvais accepter le monde comme étant insignifiant et laisser la vérité́ y être écrite pour toi, cela te rendrait indescriptiblement heureux. Mais parce qu’il est insignifiant, tu te sens obligé d’y écrire ce que tu voudrais qu’il soit. C’est cela que tu vois en lui. C’est cela qui est insignifiant en vérité́. » Leçon 12 du cours en miracles UCEM

 

Le rôle de Dieu n’est pas de créer ni de décréer les situations ou les conditions de la vie.

Cette source divine dont vous êtes issue, vous a créée à son image et à sa ressemblance.

Vous, vous créez le reste, (les deux pas suivants) grâce au pouvoir que la source “Dieu” dont vous êtes toujours issue par intrication vous donne.

Puisque vous êtes intriqué à la source, vous êtes une individuation de Dieu, et en tant que telle, cela vous donne le libre-choix de faire ce que bon vous semble de votre propre réalité, dans votre vie.

En ce sens, votre volonté en ce qui vous concerne est la volonté de Dieu.

C’est la première grande illusion dans laquelle vous vous êtes engagé, à savoir que Dieu se soucie, d’une façon ou d’une autre, de ce que vous faites.

Dieu ne se soucie pas de ce que vous faites, même si cela, semble difficile à entendre.

Mais Dieu, en un sens, ne se soucie même pas du résultat. Pas du résultat ultime, car ce résultat ultime est assuré. DIEU EST

Telle est la seconde grande illusion de l’homme : que le résultat de la vie est douteux.

C’est ce doute quant au résultat ultime qui a créé votre plus grand ennemi, la peur. Car si vous doutez du résultat, alors vous devez douter du Créateur. Vous doutez de Dieu Puisque vous êtes Dieu, en réalité vous doutez de vous-même.

Et si vous doutez de vous-même en tant qu’individuation de Dieu, vous passerez toute votre vie dans la peur, la crainte et la culpabilité.

Si vous doutez des intentions de la source Divine, de Dieu (et de sa capacité de donner lieu à ce résultat ultime), alors comment pourrez-vous jamais vous détendre?

Comment pourrez-vous jamais véritablement trouver la paix?

Mais pourquoi ? Pourquoi donc faisons-nous cela ?

Toutes les actions humaines sont motivées, à leur niveau le plus profond par l’une de ces deux émotions : la peur ou l’amour.

En réalité, il n’y a que deux émotions, que deux mots dans le langage de l’âme. Ce sont les opposés extrêmes de la grande polarité qui engendrent l’univers, votre monde tel que vous le connaissez aujourd’hui.

Ce sont les deux points (l’alpha et l’oméga) qui permettent l’existence de la dualité que J’appelle aussi “relativité”. Sans ces deux émotions, sans ces deux idées à propos des choses, aucune autre idée ne pourrait exister.

Chaque pensée humaine (captée par la conscience incarnée dans l’être humain, les pensées au même titre que la conscience, ne sont pas le produit du cerveau), et chaque action humaine, est fondée soit sur l’amour, soit sur la peur. En définitive, il n’y a pas d’autre motivation, et toutes les autres idées sont des dérivés de ces deux-là. Ce ne sont que des versions ou des tournures différentes du même thème.

Pensez-y bien et vous constaterez par vous-même qu’il n’existe rien d’autre. C’est ce que l’on appelle la pensée racine. C’est une pensée d’amour ou de peur. C’est la pensée derrière la pensée derrière la pensée. C’est la pensée originelle, la force première. C’est l’énergie brute qui propulse le moteur de l’expérience humaine.

 

Toute action entreprise par les humains est fondée soit sur l’amour, soit sur la peur.

Cela ne se limite pas aux relations personnelles. Les décisions qui affectent le commerce, l’industrie, la politique, la religion, l’éducation de nos jeunes, les programmes sociaux de nos pays, les objectifs économiques de nos sociétés, les choix concernant la guerre, la paix, l’attaque, la défense, l’agression, la soumission, la décision de convoiter ou de donner, d’épargner ou de partager, d’unir ou de diviser, chacun des choix que vous faites librement vient de l’une des deux seules pensées possibles : une pensée d’amour ou une pensée de peur.

La peur est l’énergie qui contracte, referme, arrête, court, divise, cache, entasse et blesse.

L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit.

La peur enveloppe nos corps dans des vêtements, l’amour nous permet de rester nus.

La peur retient, l’amour étreint.

La peur empoigne, l’amour lâche prise.

La peur laisse de la rancœur. L’amour soulage.

La peur attaque, l’amour répare.

Chaque pensée, parole ou action humaine est fondée sur l’une ou l’autre émotion. Vous n’avez aucun choix à cet égard, car il n’y pas d’autre choix. Mais êtes libre de choisir entre les deux.

Préférez-vous être heureux ou avoir raison ?

Préférer être heureux, c’est abandonner votre mental au profit de votre cœur et avoir la foi dans votre prière et lâcher prise pour que le 3eme pas exauce votre intention.

Préférer avoir raison, c’est donner crédit à votre mental (égo) pour apprécier ensuite d’avoir eu raison de ne pas avoir fait confiance à votre prière-intention.  

 

Ainsi, au moment où vous promettez votre plus grand amour, vous accueillez votre plus grande peur.

 

Car aussitôt après avoir dit “Je t’aime”, vous vous inquiétez de ce que cet amour ne vous soit pas retourné. Et s’il l’est, vous vous mettez aussitôt à vous inquiéter de perdre l’amour que vous venez de trouver. Ainsi, toute action devient réaction (pour vous défendre contre la perte).

Cependant, si vous saviez vraiment qui vous êtes (l’être le plus magnifique, le plus remarquable, le plus splendide que la source “Dieu” ait jamais créé), vous n’auriez plus jamais peur ni à vous inquiéter.

Mais vous ne savez pas qui vous êtes !

Vous croyez être votre corps, alors que votre corps n’existe pas. Puisque la matière n’existe pas indépendamment de la conscience. En réalité vous n’êtes que le fantôme au sein de la machine, cet être magnifique qui n’a pas de forme et qui habite votre avatar holographique. Cf article “Qui suis-je vraiment ?”

Conclusion :

 

Vous êtes dans un jeu magnifique, alors jouez.

Vous savez désormais que vous êtes piégé dans une matrice bercés d’illusions, mais la bonne nouvelle est que vous avez la possibilité de devenir producteur et acteur au lieu de victime et spectateur grâce aux règles du jeu qui vous sont communiquées, alors jouez.

Décider de faire pour son (soi), c’est-à-dire pour son Être, pour se révéler, Être en faisant enfin quelque chose qui sera conforme à ce que votre âme réclame. Elle s’incarne dans cet avatar de corps spirituel pixélisé, densifié lors de l’enregistrement de votre présent pour être vécue* afin de prendre conscience d’elle-même. Alors ne l’en privez pas, ne rendez pas votre âme triste, elle a besoin de se révéler, c’est pour cela que vous existez, c’est votre mission, votre but ultime, montrez-lui ce qu’elle veut voir, ce qu’elle veut expérimenter.

* « On a l’impression que l’on vit, en réalité on ne fait qu’être vécu » Nisargadatta Maharaj

Rétrocausalité

Passionné de métaphysique, notamment de mécanique quantique, et "Phénoménologue" de la conscience. La phénoménologie n'est pas véritablement une science, ni une doctrine, ni une discipline au sens traditionnel du terme, c'est pratiquement une attitude, une manière d'être. Une manière d'être qui consiste à suspendre le jugement sur tout ce que l'on croyait acquis aussi bien dans le domaine des sciences que dans le monde quotidien et d'en revenir à l'évidence ultime. L'évidence ultime qui est simplement que quelque chose se donne. Quelque chose se présente, quelque chose se manifeste, il y a du manifeste. C'est très faible comme certitude, mais c’est suffisant. C’est donc à ce jour, cette approche de réduction phénoménologique du problème de la conscience qui est retenue comme la plus sérieuse pour ce blog, parce que du point de vue épistémologique elle est basée sur des certitudes et non des hypothèses. Pour se diriger en tant qu'acteur de sa vie, au lieu de victime, il est préférable de s'appuyer sur des certitudes que des hypothèses.

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