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Citation-Niels-Bohr Qu'est-ce que le réel

Synthèse de notre réalité

On a l’impression que ce que l’on voit vient de notre perception, en fait ce que l’on voit vient de notre rétroprojection.
C’est la rétrocausalité, on a projeté ce que l’on voit.

Leçon n°15 d’un cours en miracles « Mes pensées sont des images que j’ai faites.

« C’est parce que les pensées que tu penses penser t’apparaissent comme des images que tu ne les reconnais pas comme n’étant rien. Tu penses que tu les penses; ainsi penses-tu que tu les vois.
C’est ainsi que ta «vue» a été faite. C’est la fonction que tu as donnée aux yeux de ton corps. Cela n’est pas voir. C’est faire des images. Cela prend la place de la vue en remplaçant la vision par des illusions. 

Cette idée, qui nous initie au processus qui consiste à faire des images, ce que tu appelles voir, n’aura pas beaucoup de signification pour toi. Tu commenceras à la comprendre quand tu auras vu de petites franges de lumière autour des mêmes objets familiers que tu vois maintenant. Cela est le début de la vision réelle.
Tu peux être certain que la vision réelle viendra rapidement une fois que cela s’est produit. Tout en progressant, il se peut que tu aies de nombreux « épisodes lumineux». Ils peuvent prendre maintes formes différentes dont certaines tout à fait inattendues. N’en aie pas peur. Ce sont les signes que tu ouvres enfin les yeux. Ils ne persisteront pas, parce qu’ils symbolisent simplement la perception vraie, et ils n’ont pas de rapport avec la connaissance. Ces exercices ne te révéleront pas la connaissance. Mais ils prépareront la voie qui y conduit. »


Le programme, on ne peut pas l’établir, mais on peut choisir ce qu’on veut.

Mais choisir quoi ?

Comment je vais voir ce qui se passe ?

Là que j’ai le choix. C’est un choix de vision !


Fonctionnement de la rétrocausalité :

« L’important est que l’information dont il est ici question se divise en deux catégories : D’une part, l’information physique, qui correspond à la réalité manifestée dans l’espace-temps 4D passé, présent ou futur, et qui est .d’autant plus dense le long d’une ligne temporelle que celle-ci est plus probable.

D’autre part, l’information quantique, qui varie en sens inverse de l’information physique, et dont la densité correspond  de façon complémentaire à celle du vide quantique, qui contient une myriade de potentiels non manifestés. L’intention vient donc exciter certains potentiels privilégiés de ce vide quantique en les (densifiant) en information physiques. L’information du vide serait donc implémentée sous forme de chaînes causales formant des lignes temporelles de réalités non physiques.

Pour résumer, rappelons qu’il faut se représenter notre dimension temporelle comme un chemin que nous empruntons dans un vaste territoire. L’illusion du temps nous donne l’impression que notre réalité n’est composée que de ce que l’on peut découvrir le long de ce chemin, or, la «vraie réalité» est l’ensemble du territoire. Nous ne pouvons pas voir les parties du territoire que nous ne traversons pas, mais la particularité de la conscience du « Soi » est de pouvoir naviguer à travers tout le territoire, inaccessible au « moi inférieur » en tant qu’égo et tant que ce dernier reste lié au corps physique.  Nous baignons dans un multivers quantique grouillant d’une myriade de futurs potentiels déployés, mais non densifiés dans la réalité. Ces futurs potentiels ne sont pas totalement configurés, puisque l’univers est non fini, infini et en perpétuel expansion. Tous ces futurs potentiels superposés sont possibles, donc ce n’est pas à ce niveau de création qu’intervient notre libre arbitre, mais au niveau du choix de l’un d’entre eux, sous l’effet de nos intentions qu’une seule réalité advient.

C’est pourquoi, au cours des « voyages de l’âme », tels qu’ils sont par exemple vécus lors d’une expérience de mort imminente (EMI), la conscience du « Soi » devient capable de voir l’ensemble du territoire, avec des futurs potentiels et probables·, et d’embrasser cette dimension temporelle qui inclut le passé comme un seul et même objet «spatialisé» dont témoin d’EMI cité par Jean-Pierre Jourdan mentionne cette perception de sa vie comme un «objet>> dont il pouvait faire le tour.

Les synchronicités et les traces du futur

Ainsi, la conscience du « moi » exerce une influence intentionnelle qui densifie les potentialités futures. Cette conscience doit simultanément se rendre disponible au fait que le futur puisse ouvrir des voies vers ces potentiels, grâce à la rétrocausalité, ce qui rend possible l’apparition de coïncidences signifiantes que l’on appellera « synchronicités ».

La ligne temporelle de la conscience du moi est ainsi déviée de ses automatismes en se rapprochant de sa raison d’être, qui correspond à la conscience du « Soi ». Il y a alors ouverture d’une voie non causale par commutation de ligne temporelle vers une ligne «supérieure», et on peut dire que le « Soi » a fait sortir le « moi » de son conditionnement.

Si ce détachement n’intervient pas, la conscience suit une ligne temporelle inférieure, conditionnée, qui sera celle de l’ego, proche d’une conscience «robotisée» qui croit à tort disposer d’un libre arbitre.


Comment reconnaître une synchronicité ?

Après avoir formulé votre demande, votre intention, les synchronicités surviennent donc quand la conscience parvient à sortir de ses habitudes et conditionnement, pour que les potentiels choisis par le « Soi », votre « être » en relation avec votre « moi supérieur » puisse se connecter au présent. Lâcher-prise et confiance s’ajoutent au détachement pour permettre la connexion optimale du « moi » au « Soi ».

Puis, cette connexion installe automatiquement l’un des .trois «états d’esprit» que sont l’intuition, la foi et le don de soi. Les grandes intuitions scientifiques sont l’exemple d’un processus qui ne saurait être exclusivement cognitif et cérébral puisque l’«eurêka» survient au moment où le chercheur ne «pense» plus à son problème. Il l’a laissé décanter dans son esprit, et l’illumination lui parvient alors qu’il vaque à toute autre occupation l’esprit vide. La foi se situe également au-delà de la raison, dans une transcendance émotionnelle qui renvoie aux notions de « conviction», «confiance» et «fidélité», bien plus que de «croyance», laquelle se situe exclusivement dans la sphère du mental.

L’étape suivante va consister à faire une demande, ou «poser une intention», qu’on l’adresse à une figure identifiée et plus ou moins métaphorique comme l’ «ange» ou le «guide», ou bien· encore à l’univers. Une forme de réceptivité doit s’installer ensuite, une ouverture à l’inattendu, voire à l’incroyable, car les synchronicités prennent leur force dans leur caractère improbable, et celui-ci est d’autant plus élevé qu’elles surviennent en série. Il est important de distinguer ici entre les notions de «signe» · et de «symbole», qui sont, liées au phénomène de synchronicité. Selon Jung, «le signe est toujours moins que le concept qu’il  représente, alors que le symbole renvoie toujours à un contenu plus vaste que son sens immédiat et évident». Le signe peut faire symbole, mais le symbole implique la notion “d’appariement”, d’«assemblage». La synchronicité est, pour Jung, l’occurrence simultanée de deux événements qui ont un lien de sens et non de causalité. Plus précisément, l’un des deux événements est de nature psychique (que l’on peut ici identifier à la demande, ou à l’intention), et l’autre, de nature physique (par exemple, l’apparition d’un scarabée doré), les deux domaines de réalité étant articulés au sein de l’unité globale que Jung désignait en tant qu’unus  mundus («monde un»). Devant le caractère improbable de la survenue d’une synchronicité, le mental, votre « moi inférieur » va manifester par habitude (et conditionnement) une réaction de doute. Si ce dernier est en lui-même une réaction saine, il témoigne ici d’un mental « qui attend une réponse alors qu’il doit oublier la demande», estime Philippe Guillemant. Puisque le mental évolue dans un monde de causalité stricte, le caractère acausal de la synchronicité ne peut pas faire sens pour lui. La conscience du « moi » doit alors s’élever au-dessus de celle de l’anima pour accuser réception du message. De ce point de vue, voir des «signes» partout est aussi irrationnel que de n’en voir nulle part. D’où l’importance de la demande et de l’intention, qu’elles soient explicitement formulées ou latentes, pour établir un lien clair avec le signe. Encore une fois, c’est l’accumulation des «signes» en lien avec la demande et dans une temporalité réduite qui renforce le caractère signifiant du phénomène synchronistique.

Rétrocausalité

Pour discerner le réel de l’irréel il faut effectivement comprendre un minimum la physique quantique. Elle prouve que votre réalité qui vous apparaît réelle n’est qu’image mentale. Elle se matérialise à vous sous forme d’énergie densifiée qui ralentit sa vibration pour être perceptible par vos sens.

© image Philippe Guillemant

© image synoptique Philippe Guillemant

Description de l’image ci-dessus :
Le rond jaune est la matrice, la source ou Dieu si vous préfèrez. Les ronds verts symbolisent le (Soi) votre conscience dans différentes lignes temporelles, votre (soi) est votre être pur relié à la source divine. Les ronds rouges sont vos (moi) (égo/mental) potentiels qui se manifestent dans ta réalité virtuelle. C’est à dire dans un avion où tout va bien ou un avion en feu…;)

Commutation de ligne spatio-temporelle

Commutation de ligne spatio-temporelle

© image synoptique Philippe Guillemant

Description de l’image ci-dessus avec la boussole :
Le point rouge est votre (moi/ego et ta conscience) qui enregistre le présent sur une ligne temporelle avec des futurs potentiels (avion en feu) et (avion en sécurité) etc.
La fonction de votre conscience est double.
1) elle enregistre le présent
2) elle envoi vos intentions par vos pensées, vos craintes, vos sentiments et la foi que vous y portez qui excitent les futurs potentiels afin de densifier la probabilité qu’ils se manifestent dans votre future réalité.

Commutations spatio-temporelles

© image Philippe Guillemant

© image Philippe Guillemant

Description de l’image ci-dessus « commutation spatio-temporelle » :
Les différentes lignes temporelles qui existent. Une myriade de vies dans un multivers quantique avec des futurs déployés mais pas complètement configurés puisque l’univers est en infinie expansion et n’est donc à ce titre pas fini. Vous choisissez donc par saut quantique de conscience votre ligne temporelle. Si vous vibrez de bonnes intentions et que vous êtes toujours dans l’amour, alors il n’y a pas de raison que vous rencontriez de mauvaises réalités. Mais tout problème qui se manifeste à vous n’est qu’apparence seulement même l’avion en feu qui se crache n’est qu’en apparence seulement, même si c’est difficile à intégrer. Lorsque vous vous heurtez votre pied dans la table de salon et que vous avez mal, c’est en apparence aussi. Vous croyez vivre cette réalité parce que vous croyez être votre corps, et c’est tout là le problème.
Vous vous croyez séparé des autres personnes alors que vous êtes relié par intrication au niveau subatomique et quantique. Vous n’êtes pas ce corps. Vous êtes ce que vous êtes ! Vous êtes une entité qui n’a pas de forme, qui tire son existence et puise son énergie dans la source divine (rond jaune). Cette source divine a besoin pour se réaliser et avoir conscience d’elle-même de s’incarner dans un corps constitué de pixels rien d’autre. C’est pourquoi elle s’incarne dans des plantes, dans des animaux, dans 7,7 milliards d’humains tous reliés à la même source sans aucune séparation. Toute la matière qui vous entoure et que vous croyez exister à l’extérieur de vous, indépendamment de votre conscience, n’existe pas. Ceci est désormais démontré et validé par expérience en 1982 par le Physicien Français Alain Aspect. C’est un fait scientifique et ça n’a rien de surnaturel. Cette matière est constituée de particules qui au niveau de l’échelle de Planck, cad au niveau subatomique, ces particules avant d’être enregistrées par votre conscience ne sont que des ondes de probabilités. C’est à dire des futurs potentiels. Et c’est là que réside votre libre arbitre, c’est d’avoir ce choix entre tous ces futurs qui vous tendent les bras. Par le fait que vos intentions causent des effets dans le futur qui deviennent les futures causes d’un effet dans le présent.
L’avion n’existe pas en réalité. Il n’est que pixels d’informations. Donc vous pouvez ne plus avoir peur de rien et être en paix lorsque vous avez compris la physique quantique. La physique quantique est d’ailleurs en parfaite accord avec l’existence de cette source divine que l’on peut appeler Dieu, l’absolu, l’univers etc… et dont nous sommes tous intriqués sans aucune séparation par des ondes, des fréquences et des vibrations. C’est en cela que tout est « Un » vous et moi avons l’impression d’être séparés alors que nous puisons notre même énergie au sein de la même source divine et sommes donc créateurs divins. Il n’existe pas de Dieu séparé, vous êtes dieu, je suis dieu. Vous créez votre réalité, je crée ma réalité. Vous faites des miracles chaque jour, chaque seconde et vous l’ignorez.
Vous êtes parfait tel que vous êtes, il n’y a rien à faire ou à devenir. Il n’y a nulle part où aller, vous y êtes déjà. Vous devez juste ÊTRE, cad vous réaliser en accord avec votre être pur supérieur (soi). C’est cela qu’il a besoin de voir par votre conscience (moi/ego) à travers de votre incarnation. Ne le privez pas de qui vous êtes vraiment. Votre vie est précieuse, ne la gâchez pas à craindre, à avoir peur, à être menacé, ou pire encore à être quelqu’un d’autre. Ça c’est votre mental, votre ego, qui vous envoie cette fausse perception de votre réalité à cause des vieux schémas mentaux qu’on vous a appris.
En réalité rien de réel ne peut être menacé et rien d’irréel n’existe. Quand vous avez compris ça, vous commencez vraiment à vivre enfin une nouvelle vie.
Et vous n’avez plus aucune question.

Rétrocausalité

Passionné de métaphysique, notamment de mécanique quantique, et "Phénoménologue" de la conscience. La phénoménologie n'est pas véritablement une science, ni une doctrine, ni une discipline au sens traditionnel du terme, c'est pratiquement une attitude, une manière d'être. Une manière d'être qui consiste à suspendre le jugement sur tout ce que l'on croyait acquis aussi bien dans le domaine des sciences que dans le monde quotidien et d'en revenir à l'évidence ultime. L'évidence ultime qui est simplement que quelque chose se donne. Quelque chose se présente, quelque chose se manifeste, il y a du manifeste. C'est très faible comme certitude, mais c’est suffisant. C’est donc à ce jour, cette approche de réduction phénoménologique du problème de la conscience qui est retenue comme la plus sérieuse pour ce blog, parce que du point de vue épistémologique elle est basée sur des certitudes et non des hypothèses. Pour se diriger en tant qu'acteur de sa vie, au lieu de victime, il est préférable de s'appuyer sur des certitudes que des hypothèses.

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